Un mec discret, la quarantaine, tout ce qu'il y a de plus banal. Une vie paisible en apparence, mais le mec cache bien son jeu. Il aime les jeux sexuels. Il aime qu'on s'occupe de lui. Il aime ce que d'autres n'oseraient pas faire. Il veut me voir. Il sait que je peux lui offrir des plaisirs inconnus. Je l'invite donc à me rencontrer.

Clairement, il n'a pas son mot à dire. Il a juste à se laisser malmener et à prendre du plaisir le cochon pervers.

A peine arrivé je lui ordonne de se déshabiller. Il s'exécute assez rapidement. Il est quelconque le mec, ni gros, ni gras, une bite normale, des couilles normales...Il est poilu, ça m'arrange pas dans l'immédiat, mais je vais régler ça vite fait.

Je le fais mettre à quatre pattes, je lui mets un collier au cou et une laisse...des fois qu'il voudrait partir..on sait jamais, il ne sait pas exactement ce qui va lui arriver.

Sans ménagement je lui écarte les fesses. Le bougre, il est poilu aussi. Je ne perds pas une minute, je vais chercher ce qu'il faut. Sans plus de précaution, je lui enfonce une canule dans le cul et commence à lui faire un lavement. Pendant ce temps, je lui rase le cul, les couilles et la queue. Après quelques minutes, le mec est enfin présentable. Le lavement produit son effet, il ne tarde pas à se vider. Inutile de le détacher pour si peu, il se vide dans une bassine que j'ai mis sous ses fesses. Il couine déjà...et je l'ai même pas encore touché. Il sait pas ce qui l'attend.

Il adore être plein, attaché. Il n'en fallait pas plus pour m'inspirer. Il ne voulait pas savoir ce que je lui ferait, j'avais champ libre.

Je n'ai pas perdu de temps. Le pauvre était toujours à quatre pattes, silencieux, attaché par sa laisse, son cul fraîchement rasé à ma merci. J'avais très envie d'essayer moi aussi de nouvelles choses. Exit les godes standards. Moi j'aime les fruits et légumes et autres objets.

J'avais déjà tout le nécessaire à porter de mains. Je pèle la banane et l'approche de sa rondelle, il frétille du cul le cochon, il a faim. Je le laisse pas attendre plus longtemps. Je la pousse dans son cul, bien au fond. Il me demande ce que c'est. Il n'aura ps la réponse maintenant. Devant son excitation, je poursuis sur ma lancée, j'ai des noix entières avec la coquille. J'en approche une de sa rondelle, je pousse un peu et ça rentre trop bien. Il aime ça le gourmand, il m'en redemande. Je ne me fais pas prier, je lui en mets encore une dans le cul, il en veut encore, je continue à lui en mettre . Il en a maintenant une banane dans le fion et cinq noix entières. Il me dit qu'il en peut plus. Mais je sais qu'il a encore de la place. Je change de calibre, je prends un oeuf dur et je l'approche de son trou. Il tente de se rebeller. Je lui envoie une bonne paire de claques sur les fesses et je lui tire les couilles...ça l'a fait débander direct. Sa rondelle s'est rétractée aussi. Tant pis, faut que j'utilise un peu de lubrifiant, j'avais pas prévu, mais bon, il perd rien pour attendre. J'en mets juste un peu autour de sa rondelle et je pousse l'oeuf. Il crie, m'obligeant à m'interrompre une nouvelle fois. Je lui fourre son slip dans la bouche et lui ordonne de la fermer. Sur ce, je retourne à son cul en lui disant de surtout plus m'interrompre et qu'il a plutôt intérêt à se calmer s'il veut pas que je m'énerve. Je vois une coquille de noix prête à vouloir s'échapper de son cul, je la repousse fermement à l'intérieur et j'enfonce deux doigts dans son cul. Il est tout chaud et la banane se ramollit. Je sens sa rondelle se refermer sur mes doigts. Je prends l'oeuf et lui fourre dans le cul sans ménagement. Il couine le petit. Je lui bouche le trou avec un plug et prend la corde. Je la passe autour de ses épaules, dans son collier, sur son dos entre ses fesses bien garnies et je remonte entre ses cuisses. Je laisse sa queue et ses couilles libres, je vais encore m'amuser. Je serre fort, lui arrachant un petit cri au passage. Mais au moins je sais que rien ne s'échappera de son fion.

Je le détaches et je vois qu'une larme coule de ses yeux. Je le promène autour de la pièce pour le calmer un peu, l'admirer. Lui dire qu'il est beau attaché comme ça.

Il s'est un peu calmé. Pour lui faire oublier qu'il a le cul garni et qu'il est hermétiquement fermé, je l'allonge sur le dos, je lui caresse le ventre, la queue, les couilles. Il s'apaise.

Au bout d'une cordelette, j'ai accroché un poids de 500g. Je passe le noeud coulissant autour de sa queue et je serre. Je passe un second noeud autour de chaque couille et je remonte la cordelette à son collier. Sa queue et ses couilles remontent sur son ventre.

Je lui lève les fesses et lui passe une couche sous les fesses. Je l'emballe correctement et lui demande de se rhabiller. J'ai prévu une petite sortie en public. Je vois son regard appeuré. Il a un gros paquet entre les jambes, le cul blindé et complètement bouché, une corde qui lui remonte dans le dos en le serrant fort, la queue qui pointe vers le haut avec une corde lestée de 500 gr qui lui pend entre les jambes. Je comprends qu'il ai peur. Mais c'était le deal, il l'a accepté au départ. Je ne suis pas dégueulasse, il porte un large imper.

Nous voilà partis pour notre sortie. Dans la voiture il m'avoue adoré être empaqueté de la sorte. Il n'a jamais aussi bien soigné. Il en veut encore. Finalement nous faisons demi-tour et recommençons un nouveau jeu